Provocation? Okay...

Il était seize heure de l'après midi, je marchais dans la rue qui était déjà un peu sombre, qu'importe... Cigarette aux lèvres, j'avais rendez-vous... Arrivée dans la rue qui fallait, je vis mon client en fasse de moi, sourire aux lèvres... Un gamin de quatorze ans...

"Retourne dans les jupes de ta mère, je donne pas ma cocaïne a des mômes comme toi!"

Et il avait eu la désobligeance de me rétorquer? Très bien... Je ne faisait pas sa en temps normale, je lui tendis de la cocaïne, il l'a prit, mais je restais main tendue pour avoir mon argent ce qui m'appartenait... Il semblait terrorisé

"Je veux mon fric! Donne le!"

Je fronçais les sourcils le regarda déterminée, mais il recula, très bien... Je sortais mon revolver et le regarda, murmurant un: tu l'aura voulu... et puis je tira... Le corps tomba dans la rue humidifié par la pluie de la veille, j'allai reprendre ce qui m'appartenait et j'allai dans une autre rue, les policiers n'allait pas tarder c'était sur, car déjà que j'étais dans l'autre rue a marcher comme si de rien n'était que quelqu'un poussa un cri, on devait sûrement avoir déjà découvert le corps de l'adolescent... Faut dire a seize heures de l'après-midi, les rues sont pleine de monde...

Le corps d'un jeune garçon étallé contre le sol ne passa pas inaperçu. Un couple de touristes passant dans la ruelle avaient appelés la police après cette macabre découverte. Arrivé sur les lieux, une foule de gens s'étaient déjà amassée autour des rubans jaune délémitant la scène de crime. Inspecteur de police, je fus le seul autoriser à passer le ruban ...

Aucun blessé, juste un mort. Ce pourquoi les ambulanciers ne bougent pas de leur place, et osent même rigoler entre eux. D'un côté je les comprends, dans cette situation, le rire est le seul remède pour ne pas finir sa journée avec une dépression clignotant sur le front.

Je m'avance vers le corps. La balle avait atteinte la tête, responsable de la mort de l'adolescent.

- Et ba mon beau, j'espère que t'as bien profitez de ton vivant!
Et passe un coucou à Elvis Presley de ma part!

Il ne fallait pas croire que j'allais rester dans ma rue toute seule, cela aurait pu éveiller les soupçons, non je retourna la ou j'avais bien cloîtrer une balla dans la tête de ce jeune adolescent d'où j'avais aperçu la carte d'identité... Un dénommé Peter... Bah le voila au paradis, ou en enfer... Plutôt en enfer...Je me mêla a la foule faisant semblant de ne rien savoir et je jouais très bien son jeu... Puis je vit un des policiers qui menait cette affaire... Non pas possible! LUI! Je pris mes lunettes noire dans mon sac, puis les meta sur mes yeux pour ne pas être pratiquement reconnaissable. je ferma mon sac pour ne pas avoir l'arme qui était sur moi, puis alla vers la bannière jaune... autant joeur sa comédie a fond. Restant bouche bée sur la vue du cadavre, je versa même une larme ou deux, oui quoi de plus pour sensibilisé?

"Oh non Peter!"

A ce instant je me demanda ce que j'étais entrain de faire, mais d'un côté rien de plus facile pour m'approcher de celui qui me devant de l'argent depuis maintenant six années... Dans mon cerveau, je chercha une identité pour que je sois "famille" avec ma victime...

Penché sur le corps de l'adolescent, j'examine comme je peux d'un oeil observateur l'état du corps. A première vue, il n'y a pas de marque de violence. Le légiste s'approche, je lui laisse ma place. Il est dans ce cas là mieux qualifié que moi pour découvrir ce qui a entrainé ce jeune dans le mort, mis appart la balle tirée dans la tête. Ses yeux sont encore ouverts et semblent refleter la peur qui c'est emparé de lui quand l'arme fut braquée sur lui.

Je m'apprête à dire quelque chose quand les pleurs d'une jeune femme me font sortir de mes pensées. ME tournant vers cette inconnue, je m'approche d'elle. Bizaremment, sa tête ne m'est pas étrangère. N'arrivant pas a mettre d'identité sur cette jeune femme, je laisse tomber l'idée de déjà la connaître.

- Jake Speirs, je suis l'inspecteur de police qui se charge de cette affaire.
Peter vous dites? Vous le connaissez... ssiez?

Derrière mes lunettes noirs, mes yeux se penchèrent sur le corps d'une jeune adolescent... Puis les yeux a présent vide de l'âme... J'adorais contempler les corps défunts de mes victimes... Après quelqu'un m'interpella... Bingo j'avais gagné exactement celui dont je voulais qui s'approche, manquerais plus un isolement et je récupérais mon fric et lui gagnera un aller simple vers une tombe...Mais bon j'en été pas encore la... Au contraire fallait déjà que j'arrive a avoir sa confiance... Il se méfia, e le ressentis ... il ne m'avait donc pas oublié? sans doute mais avec mes lunettes c'était assez difficiles de me reconnaître. J'aquiesca timidement a sa question...

"Oui...c'était... mon neveu"

oh la la mais où j'avais trouver cela? Mon cerveau m'étonnais de jour en jour a croire! Puis autant en rajouter un petit peu...

"Il devait se rendre chez moi en début d'après midi... ne le voyant pas venir j'ai été sur ses traces..."

Je reste planté là, comme un idiot, à la regarder pleurer. Non pas que j'aime cette situation mais tout simplement parce que je ne sais pas comment réconforter. Lui dire "Ne vous inquiètez pas, il n'a en aucun cas souffert, la balle l'a tué sur le coup" ou même encore "Vous préférez un cercueil de quel type?" des phrases très mal placées lors d'un deuil. Et même si je ne savais comment m'y prendre pour la faire arrêter de pleurer, je savais au contraire très bien poser les questions.

- Cette ruelle est plutôt mal famé dans le genre drogue. Une idée du pourquoi il serait venu ici? Avait-il des problèmes avec des substances illégales?

Bon cétait pas que c'était lourd, mais enfin, fallait plutôt que je trouve moyen de l'attirer autre part... Parce que devant tout plein de monde je ne pouvais strictement rien faire...

"C'est que... euh..."

J'hocha négativement la tête par la suite de ses questions, jouant très bien mon rôle, autant prendre place comme une vrai personne attristé et très méfiante en même temps...

"Je ne veux pas parler ici, on pourrait pas aller ailleurs?"

D'un coté il pourrait comprendre, je ne crois guère que des personnes de la famille disent la vérité devant tant de gens... Et le secret professionnel hein?

"En privé..."

Il était hors de question que j'aille en plus au commissariat de police, non la se serait encore plus difficile de l'avoir...

Entre ses baigemments et ses larmes, j'arrive à comprendre qu'elle souhaite parler de cette histoire en privé. Tour à tour, je jette un coup d'oeil entre le défuntt neveu et la tantine. J'arque un sourcil et hoche la tête, lui indiquant une direction à prendre pour être seul. Nous passons ensemble le cordon jaune, et approchons de ma voiture que j'avais alors garée un peu plu loin. Je suis pas fou, enfin pas assez, pour me retrouver seule avec elle. Cette impression de déjà vue me reste toujours dans la tête...

- Direction le commissariat. Si ce que vous dites est vrai, il n'y a alors aucun problème à venir le confirmer officiellement.

Je marchais derrière lui le suivant? Dans la poche? Hum je ne savais pas pourquoi mais cela semblait, trop facile... Je regardais les gens derrière mes lunettes entendant un: "je connaissais sa mère"... Okay je vais plus de temps a perdre fallait vraiment que j'aille ailleurs pour ne pas me faire remarquer... Mais en entendant le mot commissariat je m'arrêta net

"Pardon?!"

Et voila, comme dit le proverbe "tournez sa langue quinze fois dans la bouche avant de parler..." je me reprit par la suite

"Je veux dire... J'ai dit en privé je ne veux pas que des gens entendent ce que j'ai a dire..."

Cela ne se voyait pas mais, derrière mes lunette j'avais un regard des plus sombre... C'était sur, celui la je n'allais pas le laisser filer...

"Je veux bien vous dire ce que je sais mais alors dans la rue d'à coté... Se sera plus rapide pas besoin d'attendre quinze minutes pour aller au commissariat, vous gagnerez du temps et moi aussi..."

Cette insistance à vouloir me voir à tout prix seul à seul ne fit qu'augmenter ma méfiance. Je ne suis pas né de la dernière pluie, et cete nenette me semble bien suspecte pour une simple tantine. J'ai beau regardé son visage sous toutes les coutures, son prénom ne me revient pas à l'esprit.

- Et moi, je crois que vous n'avez pas bien entendu. Vous avez deux solutions, soit me le dire ici et maintenant ou bien je vous emmène au poste pour un interrogatoire.
Vous me semblez bien stressé pour quelqu'un qui vient juste d'arriver. Et ne me faites pas le coup de la tante émue par la mort de son neveu, vous ne collez vraiment pas au personnage.

Pas un sourire, pas un rire pouvait sortir de ma bouche... Je n'allais pas quand même le menacé maintenant, devant tout le monde et surtout devant ton les policiers, non c'était un véritable suicide... Puisque si je braquais une arme sur la tête creuse xD de l'individu qui se tenait devant moi soit Jake... Je me ferais loger une balle... Non... Valait mieux continuer de jouer le rôle...

"Vous me croyez pas?!"

J'arquai un sourcil derrière mes lunettes noirs puis le regarda croisant mes bras...

"Très bien bah passer moi un interrogatoire!"

Suicidaire? Non je savais complètement gérer mes pulsations cardiaque dût aux interrogatoires que j'avais déjà eut et qui m'avait toujours relâché sans preuve constante... Et oui a présent je savais m'y faire, et en plus quand on disait souvent "faites moi passez un interrogatoire" c'est la que les policiers pensent a l'innocence, car les coupables souvent fuient...

Le pire, c’est qu’elle m’a l’air sincère. J’ouvre la portière de ma voiture, et la laisse rentrerà l’intèrieur. Lui demandant de patienter un instant. Je m’approche du policier le plus proche, ne m’éloignant pas trop de ma voiture, et lui indique les instructions à suivre. Photos, preuves, le corps. Tous ce qui me permettra de monter une enquête.

Policier : Ou allez où ?

- Une gonzelle à aller faire griller !

Sous son regard interrogateur, je me dois de lui traduire.

- La « tante » a allé interroger !

Et pas qu'un peu que j'avais l'air sincère, car je savais exactement comme procédé... Profitant de l'absence de ce cher Jake, je sortit mon portable de mon sac, notant rapidement un sms : "Le gamina été liquidé sous peine de manque d'argent". et je l'envoya. Le rangeant aussi vite que je l'avais pris, tout sa en une minute... J'attendis patiemment dans la voiture, combien e fois m'étais-je pas retrouver dans une voiture de police? *Oh! au moins déjà une bonne dizaine... En tout cas, regardant par la fenêtre je voyais encore la foule rassemblée autour du corps du jeune Peter... avec untrou dans la tête... il avait eu ce qu'il méritait c'est tout ce je me disais... Puis j'imaginai la tête de ses parents quand ils sauraient la nouvelle... Leur tête me faisait déjà sourire de l'intérieur...

Les instructions précisées et répétées encore et encore à ce stupide policier qui semble ignorer où se trouve son nez, je retourne à la voiture. Elle m'attend là, j'ai beau la suspecté, elle a le mérite de n'avoir pas fuit dès la première occasion. Le trajet vers le commissariat se passa silencieusement. Je n'alluma pas la radio pendant le chemin, aucune distraction en autre que la route qui avançait devant moi.
Nous arrivons enfin à destination.

- Si vous n'êtes pas chanceuse aujourd'hui, ce bâtiment risque d'être pour les prochains jours votre nouvelle maison.

Je sors, et l'attend.

Et puis quoi encore, si j'avais pris la fuite c'est sur que des passants auraient pointé le doigt sur moi et aurait exclamer que c'était moi la meurtrière. Je sortis de la voiture par la suite, le regardant a travers mes lunettes noirs.

"De toute façon je n'ai rien a me reprocher"

Je me tut par la suite, il ne savait pas encore la chance que j'avais, non c'était vrai l'interrogatoire se passerais sans préjudices car j'étais tellement habituée que maintenant je contrôlais parfaitement mes nerfs...

"On y va? Non parce que autant en finir pour vous prouvez que vous avez tort"

Hop on l'enfonce un peu a lui fera le plus grand bien, il se croira peut-être moins supérieur par la suite...

- C'est ça, ouai.
On verra bien ce que j'en pense!

J'attend qu'elle passe devant moi avant de commencer à marcher vers le commissariat. Les poches enfuient dans les poches de ma veste, j'essaye de me souvenir de ce visage. Brune? Non blonde. Elle était blonde, ne portait pas de lunette. Elle... Elle... Elle est... !!

- Hunter !!

Merde, j'aurais dû me la fermer. Elle se tourne vers moi avec un sourire cinglant, alors que de mon côté je m'attend à tout.

- Toujours aussi attristée par la mort de ton neveu?

Et oui c'est dingue comme en six ans de vie j'avais change, j'avais un sourire triomphant aux lèvres en le regardant quand il avait vraiment découvert qui j'étais

"Surprise Jake..."

La mon sourire s'effaça, laissant mes dents crispés...

"Tu me dois du fric et tu le sais! Je viens le chercher, tu me le donne je te ferais aucun mal promis je te laisse même ne vie avec tout les membres de ton corps!"

Depuis quand fallait-il écouter mes propositions? Et depuis quand étaient-elles réelles?

"Donc tu choisis..."

Je le regardais enlevant mes lunettes noires et fronça les sourcils pour bien lui faire comprendre que je n'ai pas toute la saint-glinglin pour sa réponse...

- Premièrement, sais tu combien nous sommes payés? Une misère en échange de fidèles services, et primes avec, donc les 500$ et des poussières, ce n'est pas pour maintenant.
Deuxièmement, crois tu que je me promène avec cette somme d'argent sur moi?

Virerait-elle folle dingue la criminelle? Peut être la trop souvent vue de la couleur rouge l'a t-elle atteind au cerveau.
Conscient du danger qu'elle est pour moi et ma sécurité, je me tiens sur mes gardes. Probablement qu'elle ne m'attaquera pas ici, tout près du lieu le moins côté pour les filles comme elles.

Il avait raison,, je n'allait pas l'attaquer devant le lieu "interdit"non je me contenta juste de le regarder un long moment avant de reprendre la parole...

"Tu as eu six ans pour économisées et j'attendrais pas un delais de plus t'as intérêt a me le donner... Sinon..."

Je resta les dents crispés, je ne pouvais rien faire, oh et puis zut il m'énerva a force... avec son air niais comme pas deux! Je sortis mon arme et le pointa sur lui

"Je te plombe une balle est ce clair?!"

Une guerre, deux bombes l'année dernière, des fusillades à gogo... Et je suis toujours envie. Certainement que par n'importe quel miracle, je ne mourrais pas ce jour-là. Pour cela que la panique d'un flingue pointait sur moi ne me provoque aucune réaction. Je la regarde dans les yeux, elle semble ne pas rigoler. Je constate que se doigts jouent avec la gachette du revolver.

- Economiser? Jamais entendu parler, désolé.
Tu sais quoi? Tu en es toujours à la même vie, celle d'une vendeuse, alors que moi je n'ai plus rien d'un acheteur. Faut se recycler ma veille! Bon t'iras en prison, mais après une nouvelle vie s'offre à toi, sauf si tu es emprisonnée à perpétuieté!

"Fait gaffe..Speirs..."

Quand j'appelais mes clients ou ex-clients par leur nom de famille ce n'était jamais bon signe... En effet, je jouais avec la gâchette de mon flingue, et a tout moment si j'appuyais ne serais se que un demi centimètre le coup partait...

"Je peux te tuer ou alors je peux ruiner ta carrière en allant voir ton patron et disant que tu as été un drogué... Et dailleurs tu peux l'être toujours qui sais!"

Un fin sourire se dessina sur mes lèvres

"Tu as eu le temps pour réfléchir, tu savais que j'allais revenir alors maintenant tu assumeras les conséquences de tes actes!"

- Oui bien sûr. Mon patron, comme tu dis, ne te laisseras pas m'accuser sans preuve alors que je suis l'un de ses meilleurs éléments. Faut être réaliste! Une fillette des quartiers contre un flic dont personne n'est au courant de son passé! C'est clair, y'a pas photo.

Je croise les bras et soutien toujours son regard.

- Allez Hunter dis plutôt que je t'ai manqué, le pourquoi de cette visite au bout de six longues années!

J'éclatai d'un rire sonore, alors la celle la c'était la meilleure de l'année! non mais puis quoi encore, il se prenait pour le centre du monde ou quoi?!

"Je me serais bien passé de toi au contraire, je sais que tu te mets toute les filles dans ton lit... Les pauvres... Je crois pas qu'elle prit leur pied avec toi!"

Ce que je n'avais pas aimé c'était le terme "fillette des quartiers..." C'était la chose qu'il n'aurait pas du dire, loin de la si il tenait a la vie... Je laissa mon arme pointé sur lui, mais comme par magie le coup partit tout seul... C'est bête hein? En plein dans l'abdomen

"T'en veux peut-être une autre?"

Bah tant qu'on y est ue achetée une gratuit comme on dit ^^. Je m'avança vers lui, fronçant délicatement les sourcils

"Ne me sous estime pas..."

Je m'apprête à répliquer quelque chose quand une douleur cinglante me prend dans le ventre. Je baisse mes yeux, et apperçoit une tâche de sang se formait sur ma chemise. Je tombe sur les genoux, appuyant fortement sur la blessure pour empêcher une trop grosse perte de sang et ainsi éviter une hémoragie. Elle s'approche de moi, apparement fière d'elle. De ma main valide, j'attrape mon propre flingue accroché à ma ceinture et la braque sur elle. Nous sommes maintenant deux, deux a se menacer. Qui tirera en premier?

Finalement, je tire. La balle atteind sa cuisse avant de resortir. Elle aussi tombe, lui faisant perdre son flingue qui va s'échouer quelques mètres plus loin de nous. Maintenant, il n'y a plus que moi à posséder un flingue, et chargéde surcroit.

- Alors, on rigole moins?

Au bout de quelques minutes je sentis une douleur, une forte douleur a la jambe... Elle tomba a genoux, puis lâcha un instant son flingue qui alla quelques distances plus loin... Je ferma les yeux puis les recouvrir

"Je te jure tu vas me le payer!"

En plus j'étais un peu mal barée... Mon arme était allez plus loin, lui avait toujours la sienne... Je rampa sur le coté, oui d'un coté je pouvais faire que sa, récupérant mon arme au cas, ou essayant de me lever par l'aide d'un lampadaire avec difficulté...

"quel dommage tu croyais quoi? que j'allais te faire plaisir en mourrant?"